« On a vu La Femme sans ombre de Strauss, grandiose … Réduit de 30% à 70 musiciens pour les besoins de la fosse, l’orchestre de Daniele Rustioni traduit toute l’angoisse romantique de cette musique capiteuse avec la fièvre et l’énergie qu’on lui connaît. Une sorte de Chevalier à la rose tantrique dans lequel l’orchestre chercher à tout prix l’effusion. »
Luc Hernández, Exit Magazine