C’est d’abord par la direction musicale que tient l’essentiel de la représentation. Daniele Rustioni dont c’est je crois la huitième Butterfly connaît parfaitement l’œuvre et en sait la complexité.

Tous sont conduits au triomphe par la baguette de Daniele Rustioni, à la tête des forces vives de l’Opéra de Lyon, qu’il transcende comme à chaque fois.

Daniele Rustioni propose un Puccini très dramatique, d’une grande intensité.

La partition colorée de Puccini, teintée d'orientalisme et de quelques fantaisies, est du reste servie toute en nuances par l'orchestre de l'Opéra de Lyon, sous la baguette de Daniele Rustoni, qui sait se mettre à l'écoute du rôle-titre et lui ménager de l'espace.

“L’orchestre de l’Opéra de Lyon s’avère comme à son habitude superlatif sous la direction de son chef Daniele Rustioni (superbe interlude entre le deuxième et le troisième acte) …“

Daniele Rustioni, brillant directeur musical de l’Opéra de Lyon. Cinq ans plus tard, voici Madame Butterfly, où le chef démontre à nouveau sa pleine attention pour le drame et sa passion pour cette musique.

La direction de Daniele Rustioni est fiévreuse, envoûtée et d’une précision de musicien de hogaku (musique traditionnelle japonaise) dans sa manière de doser les pupitres, de donner corps aux percussions les plus évocatrices de l’orchestration.

Gloire à la soprano Ermonela Jaho et au chef Daniele Rustioni! Leur engagement total dans Madama Butterfly, de Giacomo Puccini (1858-1924), compense une mise en scène étrangement littérale, qu’on attendrait plus dans une maison de répertoire que dans un festival.

« La mise en scène, très sobre et visuellement superbe d'Andrea Breth, et la direction passionnée de Daniele Rustioni offrent davantage de satisfaction... »

Cette troisième nouvelle production de l’édition 2024, qui s’insère dans ce que le chef Daniele Rustioni nomme, dans le programme, une « Puccini renaissance », confirme le sentiment d’un festival de haute tenue.

Mais le parti-pris de Daniele Rustioni corrige le plus souvent ce « défaut » : il choisit en effet de mettre en valeur les aspérités d’une partition dans laquelle il creuse des vertiges, ménage des silences, tord les réfractions sonores pour donner de la chair à chaque phrasé plutôt que de s’enivrer de beauté de premier degré.

Conductor Daniele Rustioni is the music director of the Opéra de Lyon (a co-producer of this Butterfly), the excellent orchestra of the Opéra de Lyon was in the Aix Festival’s Archvêché theater pit.

On 24 May, the Ulster Orchestra bade a lavishly fond farewell to its music director Daniele Rustioni, with a spectacular performance of one of the largest and most exhilarating symphonies ever written.

C’est ce que fait Ermonela Jaho, en préférant le goût des nuances extrêmes à l’impératif de passer l’orchestre, aidée en cela par Daniele Rustioni particulièrement attentif à laisser exister les couleurs variées découvertes ici sous un jour sensible.

The final concert of the Ulster Orchestra’s season to a packed audience in the Waterfront Hall on Friday was memorable on so many different levels that it is difficult to know where to begin.

El director musical Daniele Rustioni i l’Orquestra de l’Òpera de Lió s’acomoden tant a Tchaikovski com a Puccini, amb uns solistes perfectament seleccionats i distribuïts.

Insomma, la direzione ispirata di Rustioni, l’ottima prova dell’orchestra e una compagine di solisti solida e interessante risollevano le sorti di una Fanciulla che rischiava di restare in sordina accanto alla Dama di picche di Čajkovskij.

Una visione a cui Daniele Rustioni, alla testa dell’orchestra dell’opera di Lione, aderisce completamente. La sua direzione offre una lettura particolarmente drammatica e concitata dell’opera.

Dans la fosse, Daniele Rustioni fait une fois de plus des étincelles. Etincelante, l’ouverture laisse pantois, préfigurant toute la musique « hollywoodienne » qui ne devait éclore que vingt années plus tard, et le chef met ensuite en relief certaines cellules mélodiques que…

Daniele Rustioni parvient admirablement à concilier toutes les composantes de la partition de Tchaïkovski, de son romantisme échevelé jusqu’à ses moments les plus audacieux dans l’évocation de la folie d’Hermann, en passant par le pastiche mozartien du divertissement du deuxième acte.