Grande réussite pour le retour de Britten dans la maison lyonnaise.
... Si la maîtrise des jeunes garçons remplit parfaitement son rôle ... plus impressionnants encore sont les chœurs de l’opéra de Lyon, d’une puissance et d’une précision redoutables (dans le Dies Irae, le public est littéralement cloué à son siège), ainsi que l’orchestre mené avec fougue et rigueur par un Daniele Rustioni pleinement maître de ses moyens, toujours attentif aux nuances de la partition, aussi bien dans l’opulence (juste avant le Sanctus), que dans le dépouillement (bouleversant final, tout en retenu). La nouvelle saison de l’opéra de Lyon s’ouvre sous les meilleurs auspices.
CLASSIQUENEWS.COM, Jean-Francois Lattarico