REVIEWS | Le Progrès

Le jeune chef Daniele Rustioni réveille la «Nuit à Venise» de Strauss.
«Mais le véritable héros de cette “Nuit à Venise” œuvre dans la fosse, où Daniele Rustioni, le futur chef permanent de l’opéra, fait chalouper l’orchestre pour mettre en scène une partition qui manque de mordent. Le jeune maestro accentue les courbes, sans jamais brusquer la ligne mélodique, pour nourrir une partition qui n’a malheureusement pas la consistance de la “Chauve-souris”, le chef-d’œuvre lyrique de Strauss.»
Le Progrès, Antonio Mafra

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